Comme vous avez pu le suivre sur mon site, l’hôpital principal d’Ariège, le CHIVA, est toujours menacé de fermeture de lits. ((23) Situation alarmante du CHIVA (Ariège))
J’ai donc alerté à plusieurs reprises la ministre de la santé et des solidarités sur ce démantèlement intolérable de notre service public. Fermer des services et réduire l’activité du CHIVA c’est le condamner à mort et empêcher ainsi les Ariégeois de se faire soigner dans leur département pour les envoyer à Toulouse ou Carcassonne.
La réponse de la ministre ? Pour l’instant elle a « prescrit un examen attentif » !